22 novembre 2024

JAMAIS CE DRAPEAU SYMBOLE DE NOTRE DIGNITÉ ET DE NOTRE UNITÉ NE SERA RABAISSÉ, HUMILIÉ, JAMAIS!
Nous connaîtrons les épreuves les plus difficiles et inimaginables, mais ce drapeau symbole de notre fierté Nationale restera dressé partout sur la terre de nos Ancêtres.

Face à la plus grande attaque, la mieux planifiée de l’histoire du terrorisme dans le Sahel depuis plus de 10 ans maintenant, l’armée burkinabè est RESTÉE HÉROÏQUE !
Ces petits bandits, recrutés en masse par les pourvoyeurs du terrorisme international dans des pays voisins des Etats de l’AES, sont rentrés en action.
Leur courage est boosté par une overdose de stupéfiants toute nature.
Convaincu par leur nombre (3000), les blindés et les pickups montées de D.C.A (armes de pointes anti aériens) et une surabondance de munitions qu’ils tiraient au hasard comme ils en ont l’habitude, ils sont arrêtés NET PAR LES FORCES ARMÉES NATIONALE DU BURKINA !
Le quatorzième RIA (Régiment Inter-Armes) de Djibo bande les muscles. Cette fois-ci ils sont gonflés à bloc, une bataille infernale est engagée par nos hommes qui tiennent à respect les 3000 délinquants sous haute tension de stupéfiants venus de plusieurs pays.

Les hommes motivés par le leadership exemplaires militaire au pouvoir acceptent désormais de garder leurs positions. Soutenus par un équipement militaire de pointe, de munitions à suffisance et assisté par une flotte aérienne alerte et désormais fonctionnelle les 3000 mercenaires sont contraints pour les survivants qui ont malheureusement échappés aux flammes de plier la queue entre les jambes comme de véritables malpropres que le port de préservatifs des géniteurs auraient pu nous épargner. Ces indignités humaines.

Cette fois-ci, là ou 10 petits bandits semaient terreurs, chaos et désolations dans nos rangs par manque d’équipements adapté et de munitions contraignant nos vaillantes forces de Défense au replis pour les plus chanceux, cette période est désormais derrière nous serat-on tenté de dire.

Désormais, nos hommes ne RECULENT PLUS, ILS SE BATTENT VICTORIEUSEMENT.

après la prise de Kidal et la tournée de Soro dans l’Alliance des États du Sahel, il fallait strictement s’attendre à ce scénario. Nous faisons face à une guerre d’occupation de type naziste. C’est la phase terminale de l’impérialisme : passer par la barbarie la plus inimaginable pour imposer la terreur comme ultime recours pour faire reculer nos Etats.

Bref, une petite publication ne peut permettre de célébrer et d’honorer comme il se doit la vaillance de nos intrépides combattants de la #BATAILLE_DE_DJIBO.
Des siècles après on s’en souviendra et on chantera en chœur leur bravoure, leur héroïsme, leur sens du sacrifice suprême et de l’honneur militaire qui ont permis à Djibo de résister et de vaincre.

Au moment ou cette bataille se préparait, l’aile chargé de la communication des terroristes a été activée par l’aile chargée de la réflexion stratégique des actions terroristes. Se cachant derrière le business de la démocratie, ces véritables en*ne_mis de la République, ces loups déguisés en agneaux vont annoncer l’apocalypse sur Djibo la Belle, la résiliente, la résistante. Comme des oiseaux de mauvais augure annonçant dans nos sociétés les deuils, ils ce sont mis en action et jubilant d’une victoire qui restera à jamais gravée dans leur fantasme, leur imaginaire sombre et sinistre. Ils doivent être identifiés et notifiés de façon officielle et ce, définitivement pour tous comme des terroristes recherchés par l’État burkinabè.
On peut haïr une autorité quelconque, mais dès lors qu’on franchit ce rubicon pour haïr son pays, et souhaiter à la terre de ses Ancêtres, à la patrie de son père et de sa mère tout le mal qui puisse exister dans le monde c’est le crime absolu. Ils doivent sans concession être déchu de leur nationalité comme s’est courant dans les démocratie néo et ultra libérales.

AUCUN EGO Y COMPRIS LE MIEN EN PREMIER NE PEUT ÊTRE MIS AU DESSUS DU DESTIN DE TOUT UN PEUPLE!

Je vous propose de lire ce chant de guerre des combattants de Djibo depuis la nuit des temps.

“Chanson guerrière recueillie chez les Peulh du Djelgodji.
“Ah Djibo est un étang
Celui qui apporte le bien peut s’y désaltérer et s’y baigner,
Celui qui apporte le mal s’y abreuvera de sang.
Il a été entouré d’étalons:
Dieu veille du soir au matin et les lances veillent du soir au matin.
Ses rives seront couvertes d’entrailles, elles ne seront plus couvertes de pagnes de femmes.
Autour de l’étang, des haies de mimosa épineux ont été deposees;
Des lances perfides sont dans l’étang, il y a des armes dans l’étang ;
Il sera planté des têtes de morts, il ne sera plus planté de nénuphars.
Que tout homme venu ici avec la colère s’en aille ! Qu’il laisse les oiseaux de l’étang dans l’étang ! “
Source: Maurice Delafosse, Le Haut-Sénégal-Niger. Tome1. Pp 384-385″

Si les employeurs des terroristes avaient lu ce texte, ils se reserveraient de cette copieuse raclée militaire de nos Héroïques FDS, fort heureusement d’ailleurs. Ils apprendront par le choc, le drame.

NB: Hier on disait nous avons perdu une bataille mais pas la guerre,
Aujourd’hui enfin, nos âmes goûtes à de petites victoires même grandes, nous les considérons comme de petites victoire parce que la grande victoire est la fin du terrorisme.
Et désormais, nous pouvons dire: NOUS AVONS GAGNÉ UNE BATAILLE MAIS PAS LA GUERRE.

VIGILANCE,
VIGILANCE,
VIGILANCE!
Le serpent 🐍 n’est pas mort Oscibi Jhoann

Tond-tēnga gninga…💪🏾🔥✊🏾🇧🇫🇲🇱🇳🇪

LePorteParoledesAncêtres!

serge bayala imhotep Lianhoué, activiste
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