Lors de ce Dialogue national, des enfants venus de différentes régions du pays auront l’occasion de s’exprimer sur les défis auxquels ils sont confrontés en raison des changements climatiques. Ils auront également l’opportunité de partager leurs idées sur la manière dont ils peuvent être impliqués dans la lutte contre ces changements et la protection de leurs droits.
Le dialogue permettra également aux enfants de mieux comprendre leurs droits et de discuter des actions concrètes à entreprendre pour faire entendre leur voix et influencer les politiques publiques en faveur d’un développement durable et de la protection de l’environnement.
Les enfants auront l’occasion de présenter leurs recommandations aux décideurs politiques et aux représentants de la société civile présents lors de l’événement. Ils pourront ainsi contribuer à l’élaboration de politiques et de programmes qui tiennent compte de leurs préoccupations et de leurs besoins en matière de protection de l’environnement et de lutte contre les changements climatiques.
L’objectif de ce dialogue est de sensibiliser les enfants sur les enjeux liés aux changements climatiques, de renforcer leur capacité à s’exprimer et à agir pour la protection de l’environnement, tout en veillant à ce que leurs droits soient respectés.
En effet, les enfants sont particulièrement vulnérables aux effets des changements climatiques, notamment en ce qui concerne l’accès à l’eau potable, à l’alimentation, à l’éducation et à la santé. Il est donc essentiel de les impliquer dans les discussions et les actions visant à atténuer les effets des changements climatiques et à protéger leurs droits fondamentaux.
Ce Dialogue national sur les changements climatiques et les droits de l’enfant est une initiative importante qui permettra de donner la parole aux enfants et de les impliquer activement dans la construction d’un avenir durable pour le Burkina Faso. En les écoutant et en prenant en compte leurs préoccupations, les adultes pourront contribuer à créer un environnement plus sûr et plus sain pour les générations futures.
Estelle KONKOBO
